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Mes vacances au Gîte Fétichistes…
oui, enfin mes vacances… 🙄
Aaaah ces vacances… Plus d’un·e doit rigoler en lisant ce mot, car même si certains ont dû y croire ça devait être au tout début…
En fait tout est parti d’une idée tordue. MON idée tordue !
Lors de mon dernier séjour au gîte, TSM et Malicia m’avaient gentiment proposé de le prolonger d’une journée puisque je n’avais aucune contrainte particulière à Tours, et on en a profité pour faire des vidéos sympas pour promouvoir le gîte.
Quelques jours après mon retour, j’ai donc eu cette idée tordue d’une vidéo que pourrait réaliser TSM et je lui en fait part au cours d’un échange téléphonique. Celle d’une femme qui découvre le Donjon par hasard alors qu’elle vient pour un séjour « classique » et une autre qui serait mise en couche après découverte de la nurserie. (Voilà pour la trame. Restait à affiner les détails et la mise en scène.) Il adore l’idée… et quelques jours plus tard, Malicia et TSM me rappellent en me demandant si, par hasard, je serais partante pour être « l’actrice » pour ces vidéos lors du stage chien du mois de mai, en échange de l’hébergement.
Toujours prête à rendre service et à subir sévices, j’ai fait un wakatépé oral avec TSM, qui vaut à ses yeux la signature d’un contrat papier en quatre exemplaires. (Wakatépé, promesse verbale dans le film « Un Indien dans la ville »)
Très joueuse, ceux qui me connaissent le savent, TSM en particulier je pense, je m’amuse sur le forum Fessestivités à laisser entendre que je vais profiter du gîte pour passer des vacances vanille. J’ai adoré imaginer les réactions et honnêtement, je n’ai pas été déçue ! 🤣🤣
Très vite, les fins limiers ont levé la supercherie que je m’obstinais malgré tout à imposer.
Là où ça s’est compliqué, c’est quand TSM et Malicia m’ont appelée en février, pour me proposer une idée encore plus tordue… suggérée par mon Amie Malicia. Mérite-t-elle encore le qualificatif d’Amie après ce coup foireux ??? je me le demande… 🤔😑
- Que dirais tu d’être ma soumise pendant ton séjour chez nous ? - me demanda-t-il avec son accent plein de soleil.
- Heu… mais Malicia
- C’est son idée justement.
- génial.
- Qu’as tu dis ?
- Heu… ben pourquoi pas.
Voilà, voilà, voilà… mon sort était scellé. Depuis, j’essaye de fanfaronner encore plus fort sur le forum, en sachant très bien que TSM devait quelque part derrière son écran, noter toutes les bravades, les coups d’éclats et les provocs… Mais là encore les habitués n’étaient pas dupes. Et comme je suis officiellement affranchie, je n’ai pas pris TSM en traître : je lui ai dit que j’avais bien l’intention de me rebeller et de jouer la provoc, autant sur le forum en amont que sur place au gîte…
- Pas de soucis ma Belle ! - m’a-t-il juste répondu.
Heu ben si justement, je crains qu’il y en ait des soucis… c’est trop facile. Beaucoup, beaucoup trop facile. Puis l’idée me prend de trouver un « maître ». Un vrai. De taille, je décide de prendre en photo… un mètre ruban de cinq mètres de long avec « J’ai trouvé mon maître » en guise de légende. Mais rien qui n’impressionne le monsieur en question qui en vu d’autres.
Je ne retrouve plus le message qu’il a publié, je me souviens n’avoir pas pu joindre le lien que je souhaitais sur le forum… Je le lui envoie donc par sms... Paroles, Paroles. de Dalida et Delon… Provocation – me répond il…
Et là, ça commence à montrer crescendo… Un sondage est publié demandant aux autres comment il devait me maltraiter lors de ma venue, montrant la photo d’une couche de la taille d’une citrouille sur un pauvre damné volontaire d’office. Le topic devint vite un gros délire où seul mon avis semblait ne pas compter. Calulion, le mannequin à la couche citrouille de la photo initiale, devenant le plus fervent défenseur de l’idée de TSM, n’hésitant pas à ajouter des idées toujours plus tordues les unes que les autres, des fois que le Très Sévère Monsieur viendrait à en manquer…
Ce qui me surpris le plus, cependant, fut l’appel avant hier, d’un numéro inconnu… Malgré l’heure tardive, je pensais d’abord à un appel frauduleux, guettant mon écran qui me confirmerait la « suspicion de spam ». Mais non rien. Au lieu de ça, une sonnerie me signifiant qu’un message avait été déposé sur la messagerie. Du coup je rappelle direct, pensant à un numéro qui aurait sauté de mon répertoire. Mais la voix je ne la connais pas, jusqu’à ce que, morts de rire, TSM et Malicia ne présentent l’objet du délit. Je suis « « accusée » » je pèse mes mots, d’avoir utilisé le terme « vieux monsieur » pour désigner TSM, rapporte l’interlocuteur inconnu.
Ké ?
Lui oui, moi non. Et on part en délire, lui étant encore au gîte quelques jours, fatiguant le plus possible le monsieur en question pour que mes fesses aient au moins une journée de répit…
On est le samedi 3 mai, il est 18h00 et dans une semaine pile poil, je serai fixée sur mon sort… La pression est montée depuis quelques jours malgré mes bravades sur les forums. L’heure d’embarquement a été fixée il y a deux jours par Dame Endura… Pour ne pas trop cogiter, je continue mes délires sur les forums et j’écris une autre histoire en parallèle, celle ci ne trouvera de finalité réelle qu’après mon séjour.
Le trajet avec Dame Endura et Ricki s’est fait sur deux jours. On s’est arrêtés à une heure de la frontière et le samedi on a fait quelques courses à La ALUMNIA. Je termine le trajet et rentre la voiture en marche arrière avant de commencer à décharger les affaires. On est d’accord, on s’en fout.
Ricki s’est vu passer son collier avant de se métamorphoser en toutou bien sage à peine quelques minutes après notre arrivée. Moi j’avais esquivé la grosse chaîne autour du cou… avant de me faire coincer dans le sas de l’entrée par un TSM patient… il ne court pas. Il ne râle pas… (du moins pas toujours)… mais tel une araignée, il attend sa proie et la saisit quand elle ne s’y attend pas… J’ai déjà porté un collier de soumise. Lourd. Imposant. Acheté sur ABC Plaisirs Mais ce collier, c’était mon compagnon dom/daddy de l’époque qui me le mettait. Il fermait avec un code, que je n’ai jamais connu. Il l’a remporté avec lui lorsque l’on s’est séparés.
Je suis habituée à avoir une contrainte autour du cou, mais là, c’était une chaîne. Une grosse chaîne épaisse qui apportait une touche brute, sauvage à la contrainte. Une longueur pendant entre mes petits seins était un rappel permanent de ma soumission imposée. D’autant que la subir ainsi de la part de TSM qui est un Ami, était relativement troublant. Avec mon ex il y avait des sentiments amoureux qui rendaient la soumission intime qui devait renforcer notre complicité et notre amour, mais là, il y avait une sensation d’appartenance différente, perturbante qui n’avait rien à voir avec l’amour, mais qui témoignait de la confiance aveugle que j’ai pour mon Ami.
Mon sac à main avec mon téléphone dedans, a soudain disparu… confisqué par le propriétaire du gîte fétichistes.
Alors que je pestais, que je râlais, je me suis retrouvée menottée les mains dans le dos. Mais j’arrive à les repasser devant et connaissant l’astuce, je sais que les clefs sont dans sa poche… il n’y a pas cinquante façons de me libérer… il me faut les choper… dans sa poche. Alors je tente ma chance. Je me surprends moi même à réussir à les attraper, presque, discrètement… Mais mon euphorie me fait commettre une erreur… je les échappe… et en tombant, elles attirent forcément l’attention et la première punition, une fessée déculottée filmée pour l’exemple afin de dissuader les futur·e·s autres rebelles de passer à l’action…
Mais Malicia, j’ignore pourquoi s’en est pris une aussi. Et pour m’empêcher une nouvelle bravade, elle fut nommée responsable en cas de récidive de ma part. Ce qui voulait dire que si je déconnais, c’était Elle qui trinquait. Quand je vous dis que c’est un vilain le bonhomme, personne ne veut me croire !
Une fois le reste de mes affaires posées dans ce qui devrait être ma chambre, c’est bizarre, mais à cet instant, j’ai comme l’impression que ça sent l’arnaque…, je suis invitée dans le salon où TSM me demande de me mettre en position SIX.
- Heu !? C’est quoi ?
- Tu ne connais pas les positions de la soumission ? - me demanda TSM autant dépité que légèrement frustré.
- Je t’aurais volontiers montré – me dit Malicia – mais j’ai le genou en vrac.
- Donc hors de question que tu lui montres ! - rappela gravement TSM qui tente alors de m’expliquer…
L’explication en soi n’est pas mauvaise, c’est l’interprétation et la mise en application qui sont plus délicates. Et à mesure que le Maître est distrait, je tente, petit à petit, de m’éloigner des portes avions qui lui servent de mains pour regagner prudemment la sortie qui, assise est beaucoup, beaucoup trop loin à atteindre rapidement. Bon en attendant je ne sais pas faire cette position SIX. C’est dingue ça !? Le repas se passe dans le calme bien que la joie de nos retrouvailles nous fasse bien délirer. Ricki est sage sur son tapis, à attendre sa gamelle.
Puis l’heure du dodo approche et je dois grimper sur la cage pour que TSM me mette une couche pour la nuit. « Hors de question que tu me réveilles en pleine nuit pour aller faire pipi ! » m’avait il prévenue. Couche, culotte plastique, grenouillère, il ne manquait plus que mon Doudou que je suis allée chercher pour pouvoir dormir. Hors de question de dormir sans mon Doudou ! Naméo ! Par contre je n’avais pas prévu d’avoir les mains entravées par une paire de menottes qui serait fixée à cette fichue chaîne ! Ni de passer la nuit dans la cage !? Qui n’était pas verrouillée… du moins jusqu’à ce que je m’en rende compte… et qu’elle soit réellement cadenassée. Si j’avais patienté un peu… Ricki, lui a dormi dans le donjon, sur son tapis.
Je suis un peu plus grande que la cage, mais les pieds peuvent dépasser par les ouvertures spécialement prévues pour me détendre un peu. Oui enfin me détendre les jambes. Parce que les mains sur la poitrine, attachées court à la chaîne du cou ne me permettent pas beaucoup de liberté de mouvement. Je me demande si ce n’était pas le but recherché en fait. Vous en pensez quoi vous ??? C’était une première pour moi d’être attachée ainsi, enfermée dans une cage.
J’y ai déjà dormi dans cette cage pendant la fête du réveillon il y a quelques mois, mais j’étais libre de mes mouvements dedans. La nuit m’emporte un peu, les chats entrent et sortent activant la lumière automatique du hall d’entrée. Les barreaux omniprésents lors de chaque réveil me rappellent où je suis. Mais les menottes me font mal. Je n’arrive plus à bouger les poignets dedans. Elles se sont serrées et bloquées pendant que je dormais. Sauf qu’arrive un moment où elles me font vraiment trop mal. Heureusement, TSM a eu pitié et me les a retirées pour finir la nuit, après que je l’ai appelé. Je pensais qu’il les desserrerait un peu, mais non, il les a retirées. Je me rendors un peu alors que le jour commence à colorer la pièce de sa lumière chaude, la chaîne continuant de peser sur ma nuque ou ma gorge selon ma position. Evidemment, j’ai gardé ma couche mouillée pour le petit dej, mais la chaîne me fut retirée pour la douche.
Comme j’aime la provoc’ je me suis posée sur un transat, chapeau et lunettes de soleil avec un bouquin de plus de trois cent soixante dix pages… TSM passant derrière, j’ai même pris une photo pour immortaliser l’instant surréaliste du dom qui regarde la soumise le narguer… Ça vaut son pesant de cacahuètes ! Bon, ça m’a valu une fessée agrémentée d’un cours de diction coloré puisque selon Dame Endura, je n’avais pas bien prononcé un « « remerciement » »… et comme les fesses n’étaient pas assez rouges… j’ai eu droit à un bonus...
Méfiez vous de Dame Endura... elle a de très mauvaises fréquentations ! Je sais de quoi je parle !!
Notre chien n’était pas celui de Bono, ce n’était donc pas le toutou d’U2… (Non je ne sortirai pas, c’est moi qui raconte, je fais ce que je veux !) Notre chien donc, avait besoin, en revanche de se dégourdir les pattes, Môssieur TSM l’a emmené dans le parc faire le parcours agility… j’ai servi de caméra-woman. (Pour ceux qui zont pas compris, c’est comme un cameraman mais en version fille ! 🙄)
J’aime bien être de ce coté de la caméra… même si pendant le reste du séjour, je fus assez rarement à cette place. L’idée étant de faire des vidéos, je n’allais pas me débiner et quitte à se taper un délire, autant y aller à fond. Enfin un délire… oui un délire par vidéo !! Mal-heureusement, tout n’est pas sur pellicule, on a eu beaucoup, beaucoup, beaucoup de moments entre nous où on rigolait bien !
Les vidéos ne sont qu’un échantillon de nos folies !
Comme nous étions en plein cœur du parcours sans thé, sans T, de torture, s’est invitée l’idée de me shibariser… Pour une fois désireuse de le vivre au moins une fois, je me suis laissée faire. Me faire attacher les mains sans résistance était perturbant.
Les cordes passaient et repassaient sur mon corps, le transformant peu à peu en rôti non comestible. Les cordes des chevilles furent préparées avant que TSM et Dame Endura ne tendent celles des poignets. Puis ils me firent tendre une jambe en arrière de sorte à accrocher la corde avant de me laisser partir en avant en remontant l’autre jambe… Aucun risque de tomber puisque je suis attachée. Et là, suspendue dans le vide à la merci des doms et de leurs folies, entre fessées, chatouilles de pieds, ils demandent au chien de me renifler !? Ben oui mais je ne peux absolument rien faire d’autre que subir. Cette sensation de dépendance, même très courte en durée, est vraiment intense et sympa à vivre ! Et encore je n’avais pas de masque ou de cagoule sur la tête !
Ricki a été plutôt obéissant, répondant aux ordres du maître, le suivant comme demandé et bien qu’il ait obéit et suivit toutes les instructions, au lieu de recevoir une friandise pour le récompenser, il a été lâchement enfermé dans la cabane à outil au fond du jardin, pendant que nous, humains, allions prendre l’apéro. (Tiens, je n’ai pas eu droit à la cabane moi... J’ai vraiment été sage alors!? 😎)
La sieste de Môssieur TSM (Très Sadique Mec pour ceux qui n’auraient pas encore compris) étant sacrée, il est parti faire son gros dodo (et c’est moi la little… 🙄) me laissant curieusement quartier libre… Je me suis fait une petite cure d’Albator avec Malicia… Ensuite, j’allais profiter de la piscine… mais pas vraiment comme je l’avais imaginé en arrivant ici.
Il ne faut JAMAIS, je dis bien JAMAIS, laisser traîner des cordes à côté d’une piscine en présence d’un Très Sadique Mec !!! Parce qu’en plus il est rapide l’animal !! En deux temps et trois mouvements, me voilà saucissonnée comme heu… bon ficelée comme un rôti et balancée à l’eau comme un homme de main aurait manqué de respect au Parrain… Bon je n’avais pas les pieds dans le béton ou attachés avec de lourdes chaînes, mais la sensation de se retrouver dans l’eau et de ne pas pouvoir bouger comme on le souhaite est quand même un poil flippante.
J’ai entière confiance en TSM (du moins jusqu’à cet instant…😅) donc je sais que je ne suis pas en danger. Les cuisses attachées m’empêchent de me maintenir à la surface, mais à cet endroit précis de la piscine j’ai encore pied et j’arrive à me mettre debout… avant de me faire tomber dessus par un cuirassier qui m’envoie par le fond en me maintenant la tête sous l’eau. En visionnant plus tard le film, ça semble impressionnant. Mais de l’intérieur, ça ne dure pas si longtemps que ça et j’ai une capacité d’apnée bien supérieure à celles qui me sont imposées.
Ce qui est perturbant, c’est d’être contrainte de toutes part et d’avoir la tête maintenue sous l’eau, parce qu’on ne sait pas combien de temps ça va durer et qu’on n’entend pas ce qu’on nous dit. Quelqu’un d’émotif pourrait rapidement partir en cacahuète. Mais encore une fois, TSM est sérieux et jamais il ne mettrait quelqu’un·e en danger.
La planche est particulière, autant quand on la fait on flotte parce qu’on se maintient nous même à la surface de l’eau, mais là, attachée, c’est plus compliqué. J’ignore si le Môssieur en question a perdu la main en ce qui concerne les nœuds ou si je suis aussi douée que je le prétends, mais j’ai réussi à me défaire des cordes qui entravaient mes cuisses.
Malheureusement, je suis au Gîte Fétichistes… Action/Réaction… Si je défais les nœuds de la corde, lui défait ceux de mon bas de maillot de bain ! NON ! C’EST PAS DRÔLE !
Si je veux le récupérer sur la terrasse, je dois finir de me détacher complètement et sortir à moitié à poil.
Les cordes dans le dos sont plus difficiles à chopper que je ne le pensais, d’autant que je n’avais pas compris comment elles étaient entremêlées pour saisir le bon bout. Après quelques minutes de lutte harassante, souffrant larmes et sang... hein ? On n’y croit pas ? Pffff. Z’y connaissez quoi en cordes vous d’abord ??
Bon, je reprends, après quelques minutes de lutte contre des nœuds mouillés, (ça va, c’est crédible ça…) j’en arrive enfin à bout, et c’est le cul à l’air, le cul mais pas que, que je cours récupérer mon bien injustement confisqué devant les regards amusés de Malicia, Dame Endura et du toutou qui ne se pose pas la question du maillot de bain mais qui aurait bien profité de la piscine…
La piscine ça creuse… j’attends avec impatience le repas du soir, spaghetti bolognaise… Le chien devant les manger dans la gamelle, ça promettait d’être très drôle… Sauf que, ce que je n’avais pas prévu, c’est de finir à poil et de devoir accompagner le chien dans son repas !? Les participants au stage chien s’étant dégonflés, la pauvre bête s’est retrouvée toute seule, l’infernal maître des lieux, ayant décidé pour la soirée, de remédier au problème en me transformant en chienne pour l’occasion.
Bon pas complètement, surtout que là, pour devenir chienne, il fallait lutter un peu plus. Mais TSM n’étant pas du genre à capituler de la sorte, le fouet fut invité à la soirée. Refusant de manger à quatre pattes, la lanière me zébra le dos, les cuisses, les bras, chaque millimètre carré de peau qu’elle pouvait toucher, même dans des endroits les plus improbables ! Le chien mangeait sagement, mais très proche de moi, il risquait de prendre un coup perdu… Un seul ! Un seul petit coup perdu sur la quantité, c’est dire si TSM est précis et maîtrise son objet de torture ! Même Indiana ne fait pas mieux !
Par contre, le séjour ne faisant que commencer, si je voulais tenir dans la durée, le plus sage était de capituler… et de manger… car pour être honnête, le dos commençait à me chauffer dur...
Ça fait bizarre de voir les autres manger à table et nous regarder de leur hauteur. Et dire que Ricki a vécu ça pendant presque trois jours !? Franchement il m’a impressionnée. Je suis joueuse, je veux bien essayer plein de choses, mais il faut savoir que ce n’est pas gratuit. Il faut me « mériter ». Je ne me donne pas, il faut batailler pour me « gagner ».
Ricki avait sa gamelle d’eau. Sa queue semi rigide bougeait à chaque mouvement et son visage, caché par la cagoule en tête de chien, en faisait un être divin de l’Egypte Antique.
Enfin pas divin pour tout le monde, parce qu’il fut conduit à la niche pour la nuit par Môssieur TSM. En réalité le donjon avec un tapis et une t’ite couverture pour protéger la bête. Attaché par le collier à des anneaux du mur. Mais cette nuit là, il n’allait pas être seul. J’allais dormir dans la chambre Love.
La chambre Love fait partie du donjon, en partie maçonnée mais « fermée » par des rideaux. Le lit est hyper confortable… en utilisation normale. En couche et grenouillère, je fus attachée aux chaînes des quatre piliers par Dame Endura et TSM… avec en plus ces affreux gants sans doigt hyper rigides sur les mains ! Les chaînes furent tendues bien fort et les pieds entravés aussi, avec en « « sécurité » » une sangle à hauteur des cuisses !
Je ne risquais pas de me détacher…
C’est assez particulier comme sensation d’avoir quelqu’un dans la même pièce et de ne pas pouvoir ni discuter ni s’asseoir côte à côte. On était tous les deux attachés, chacun de notre côté. La nuit fut très, très compliquée ! Les bras rapidement engourdis me faisaient mal et je n’avais aucune amplitude pour me soulager, tellement tout était tendu de partout. La couverture polaire qui me fut posée dessus pour la nuit, a en réalité, plus été une contrainte supplémentaire qu’un confort. La douceur agréable de la pièce, ma grenouillère et mon agitation à ne pouvoir bouger librement me maintenaient à une température proche de la fusion.
Les ténèbres étaient impressionnants quand on est attachée de la sorte. La cascade, régulière, qui me berçait habituellement quand je dormais dans le gîte, était cette fois une alliée des doms, martelant en continu son débit liquide qui obsédait mon esprit. Je partais plus dans des micros somnolences qu’un sommeil profond, chaque non mouvement se soldant par une douleur qui réveillait tout mon corps, la cascade se chargeant de retarder la fermeture oculaire et la mise en veille du système.
Puis un chant tout doux, mélodieux agréable, libre quelque part dehors s’invita gaiement dans la nuit moins sombre. Les contours de la pièce se dessinèrent lentement, montrant subtilement l’emplacement des fenêtres qui jusque là s’étaient effacées dans la nuit. Le chant mélodieux, d’abord soliste, fut rejoint par un orchestre complet qui vénérait le jour nouveau avec application. A mesure que l’Astre Solaire accrochait ses rayons sur les sommets montagneux, il me dévoilait lentement mon reflet dans le miroir qui me regardait depuis le plafond.
J’étais bien attachée. Pourtant, je réussis (et je tairais comment pour me permettre de recommencer si besoin) à me libérer un poignet de l’emprise de sa chaîne… à peine trois minutes avant l’arrivée de TSM qui avait décidé de nous libérer pour dormir un peu en fin de nuit. Le chien eut le droit de monter sur le lit pour compenser sa carpet que j’imaginais inconfortable.
Bien que je l’ai entendu dormir d’une respiration calme et apaisée, j’ai appris plus tard qu’il n’avait pas si bien dormi que ça. Alors si toi tu n’as pas bien dormi…
Dame Endura eut aussi cette envie de nous libérer, délivrer un peu… mais on avait migré vers la sortie, attendant, sagement pour une fois, qu’on vienne nous chercher pour le petit dej.
Enfin petit dej pour moi, Ricki toujours en mode toutou, devait se contenter de ce que sa maîtresse lui donnait.
Ce lundi au soleil, Malicia avait un RV médical à Zaragoza l’après midi et des courses à faire avant. Risquant d’être dans l’impossibilité de conduire sur le trajet retour, je fus sollicitée pour accompagner la Belle et la suppléer en cas de besoin. On avait donc une petite matinée pour faire les vidéos que TSM avait en tête. En attendant, je passais ma tenue de little sur ma couche de la nuit que je n’avais pas eu le temps de changer… Une culotte PVC et ma ceinture de chasteté complétèrent le tableau.
Puis toute l’équipe prit place à bord du 4x4 qui nous conduisit sur une route quasi abandonnée à quelques centaines de mètres du futur lac artificiel qui dans quelques années sera précisément ici. Le chien fut descendu du coffre avant de lever la patte sur la roue du Tout Terrain. Heureusement pour lui qu’il ne s’est pas lâché dans la voiture !
Tenu en laisse pour éviter qu’il ne s’échappe ou ne se perde, le chien reniflait partout, levant la patte ça et là pour marquer son nouveau territoire provisoire.
Puis ce fut mon tour d’être embêtée par TSM, le chien étant géré par sa maîtresse. Après quelques délires vidéos, nous explorâmes une maison en ruine, jouant, posant selon les désirs du réalisateur déjanté. Sur les escaliers, qui ne semblaient originellement, ne mener nulle part, sur les bords d’un bassin, bref, un vrai gamin avec un appareil photo ! 🤣🤣🤣🤣🤣 « Pose toi là ! » « Fais comme ça ! » « Tourne toi ! »… Un Chef d’orchestre qui s’inspirait de l’instant, de la lumière, du cadre et peut être même de la forme des nuages. (et c’est moi la little….)
Mais c’est la pendule qui eut le dernier mot, Malicia et moi avions un timing à respecter, je devais reprendre une apparence plus adulte et le chien une plus humaine après avoir cherché dans le parc de plus de huit mille mètres carrés les clefs de sa libération à travers un jeu de piste. En reprenant la route du gîte, nous croisâmes à peine au détour du virage suivant, un fourgon de pompiers, pardon, Bomberos, avant d’en croiser un deuxième plus loin et toute une tribu une centaine de mètres à peine de la route autour d’une autre maison en ruines…. Et s’ils avaient poussé jusqu’à celle qu’on avait exploré ? Et si ils nous avaient vus depuis leurs positions ? Après tout, j’avais une couche, Ricki était un chien, les adultes humains n’avaient qu’à gérer après tout.
J’ai passé une après midi super sympa avec Malicia. Une sortie entre filles que je n’avais pas faite depuis très longtemps et qui restera d’autant plus mémorable qu’on a quelque peu contourné certaines règles ! Quant au rendez vous médical, je n’ai pas eu le temps de sortir mon bouquin quand Malicia disparut dans la salle de consultations, qu’elle était déjà ressortie !? A peine 5 minutes !? Si j’avais su, je l’aurais laissé au Moulin mon bouquin qui a pesé inutilement dans mon sac toute la journée. Depuis quelques temps, je corresponds en privé avec un certain Dita, qui m’a fait une jolie surprise. Il y a quelques semaines, il m’a envoyé par sms une histoire qu’il a écrite, me mettant en scène dans un gîte en Espagne… Par je ne sais quel hasard, il a contacté Dame Endura pour lui demander de nous lire la suite de cette histoire, un résumé des épisodes précédents fut nécessaire à mes Amis pour comprendre le contexte. C’est debout, en tenue de soubrette, que j’écoutais Dame Endura nous lire ce nouveau chapitre.
Afin de le remercier, l’idée fut émise de faire une photo qui rende hommage à l’histoire, en me mettant scène dans une poussette avec les personnages autour de moi. Mais on n’avait pas de poussette, par contre un fauteuil roulant plein de poussière et de toiles d’araignée, destiné à la douche des personnes en situation de handicap, me fut attribué… mais il me faudrait le nettoyer...
Ce soir là j’ai eu droit de dormir dans un vrai lit de grande… en couche cependant…
C’est vers 8h30 que je fus tirée des bras de Morphée par un TSM en pleine forme. Il avait déjà en tête la vidéo du self bondage qui ne souffrait pas droit au retard. Alors que les éléments annexes au film étaient en cours de tournage, moi je finissais de me préparer.
Avec mon petit top blanc léger et ma jupe ultra courte de collégienne dévergondée, j’avais mis, à la demande du Maître, un boxer de sport en dessous, pas très élégant mais qui avait un but que j’ignorais sur le moment. Ce self bondage dans le donjon était plus excitant que celui du début d’année dans la chambre avec les fers. J’avais tous les accessoires à disposition et je devais m’attacher à la croix géante fixée au mur qui surplombait de l’autre côté, la petite rivière qui alimentait le moulin.
Je connaissais les baillons boules, et selon la taille je ne pouvais pas la tenir correctement dans la bouche. Pour ne pas faire cinquante fois la scène, j’optais sans jamais l’avoir testé auparavant, le double anneau… Je le regrettais à peine fixé derrière la tête !
Ce truc m’arrachait les gencives déjà malmenées par le tartre qui m’inquiétait fortement. Par contre j’en ai bavé, au sens littéral du terme et impossible de prononcer une syllabe correctement. Je fixais la ficelle qui tenait les clefs à hauteur pour la saisir, avant de fermer les mâchoires d’acier des menottes sur mes poignets. Ma cheville droite trouvant naturellement sa place devant sa fixation, ce fut un peu plus rock’n’roll pour la gauche puisque l’amplitude de la croix était supérieure à celle de mes jambes.
Pourtant j’ai déjà été attachée sur cette croix par mon ex. Mais le faire moi même était plus compliqué puisque je devais fixer ma cheville en m’aidant de mes mains mais en ne pouvant pas bouger l’autre jambe. Quand mon ex m’avait attachée, je pouvais me tenir par les mains ou m’appuyer sur lui pour tendre ma jambe. Le self bondage sur la croix est assez sportif avec les éléments d’origine. Une corde ou des chaînes plus longues seraient , je pense, plus adaptées. Mais là on était en pleine vidéo et TSM semblait pressé de boucler le tournage.
Après quelques minutes de bataille, je parvins à me lier à elle avant de fixer les menottes aux anneaux. Par contre une chose à laquelle je n’avais pas pensé et qui aurait été vraiment problématique en cas de réel self bondage, je veux dire sans la vidéo et la sécurité de TSM, c’est que je les ai fixées beaucoup trop haut. Même avec les clefs, je n’aurais pas pu me détacher. L’idée ici, était que je perde les clefs et que je reste prisonnière. Et c’est ce qui s’est passé ! Il m’a vraiment laissée l’animal !!!
La vidéo a deux fins différentes. La fin officielle, celle de la cliente qui se fait libérer par TSM ou Malicia et la fin alternative qui m’a permis de comprendre la présence de ma culotte XXL.
Le vilain avait décidé de me faire tester le magic wand… C’est horrible ce truc !!! Sa boule énorme tombe directement sur le clito… diablerie ! Et il est reparti ! Me laissant seule avec cet objet infernal qui s’en donnait d’autant plus à cœur joie que je ne pouvais le contrer.
A son retour, il s’amusa avec les micros pointes de mes petits seins, pas assez petits malheureusement pour échapper aux pinces et de pouvoir jouer avec… Puis le magic wand retrouva mon intimité… La vidéo est coupée au bout de quelques minutes, mais je suis restée ainsi beaucoup plus longtemps à me débattre avec l’appareil qui me faisait décoller alors que j’étais clouée au mur ! Le paradoxe à l’état brut ! La puissance de la jouissance subie sublimée par la contrainte des menottes.
Je ne sais honnêtement pas combien de temps je suis restée ainsi à me tortiller dans les quelques mouvements disponibles que mon corps pouvait encore dessiner entre ses liens.
Mais punaise… Woua !
J’avais les jambes en coton en descendant du manège digne d’un Grand Huit des parcs d’attraction. En fait, le coup de massue arriva quelques secondes après quand le vilain monsieur m’annonça que j’avais dix minutes pour me préparer parce que le dentiste n’était pas vendredi comme il me l’avait annoncé, mais dans une heure.
(L’histoire du dentiste n’a probablement pas sa place ici, mais TSM, il y a quelques mois, avait créé un topic vantant les mérites et la douceur des dentistes espagnols ! Moi j’ai un gros passif avec eux et du coup je repoussais d’année en année le détartrage qui désormais me complexait autant qu’il me faisait peur d’avoir trop attendu et d’avoir potentiellement abîmé bêtement mes dents. N’ayant trouvé personne en France pour m’accompagner, j’ai demandé à tout hasard, si TSM ou Malicia aurait un moment pour m’accompagner parce que j’avais horriblement peur… Je ne voyais que ça pour ne plus me débiner et enfin aller de l’avant.
Je n’ai pas menti quand je disais avoir peur !! Je crois que même eux ne s’y attendaient pas. Déjà parce qu’une femme en apparence adulte se fait accompagner par un homme, et qui est tellement sur la défensive et prête à fuir qu’ils se sont même demandé si je ne venais pas sous la contrainte. Heu si mais c’est moi qui me la suis imposée cette fois !!!
J’ai pratiquement broyé un porte avion déguisé en main de Môssieur TSM et trois dentistes étaient nécessaires pour me soigner, me calmer et m’éponger le visage liquide de sueur qui me trempait le corps entier. Mais il y avait tellement de travail, tellement de peur malgré l’anesthésie pratiquée en urgence, que je me vis imposer un deuxième rendez vous le jeudi… C’est une loque que tenait TSM pour attendre l’ascenseur, indispensable selon lui pour descendre le malheureux étage.)
Il me fallut plusieurs heures pour récupérer l’usage normal de ma bouche et ne plus avoir l’impression de m’être fait défoncer la tronche par Mike Tyson. Le repas du midi fut rock’n’roll. Du coup Malicia et moi nous sommes posées devant quelques épisodes d’Albator… avant le réveil du Maître qui avait une idée rigolote qu’il nous tardait de mettre en scène.
C’est donc en couche que j’ai cherché à faire ma grosse bêtise… trouver le produit à vaisselle… et me faire une soirée mousse dans le jacuzzi !
Que les choses soient claires avant de passer pour une connasse sans respect qui détruit du matériel. Outre le fait que l’idée vienne du propriétaire même du jacuzzi, l’appareil nécessitait une vidange pour un contrôle puisque victime d’une fuite. C’est de là qu’est venue l’idée de TSM, faire quelque chose qu’on n’aurait pas fait en temps normal.
L’eau étant un peu froide et le niveau un peu bas, on a remplit la future scène de crime d’eau de la piscine, à 28°, elle, à l’aide d’une pompe. Bon, la température n’a pas explosé non plus, mais c’était acceptable… Et là, franchement, je me suis ÉCLATÉE ! Quitte à jouer un rôle, autant le faire à fond… et faire de la mousse avec les bulles du jacuzzi, c’était une idée délire ! La couche qui se remplit dans l’eau et qui d’un seul coup pèse une tonne est très particulier. Pas le temps de la sentir se remplir comme quand on fait pipi dedans, c’est quasi instantané.
La mousse me plonge des décennies en arrière, j’adore ce jeu, avec cette sensation malgré tout, d’avoir fait une bêtise et risquer de me faire prendre. La mousse s’envole, me colle à la peau et j’oublie complètement la caméra. L’idée de la sortie maladroite et de faire semblant de glisser me sont venues sur l’instant, je n’avais rien planifié.
Hors caméra, Ricki est venu jouer avec moi dans la mousse aussi après.
Evidemment nous n’avons pas passé le séjour la caméra à la main même si concrètement, c’était l’idée de faire des vidéos, mais on a eu des moments tranquilles, des moments pour nous et des souvenirs intimes qui n’appartiennent qu’à nous.
Le réveil me fut annoncé au martinet… Donc j’ai anticipé et j’ai bloqué la porte avec un pot… et quand le grand méchant dom est venu sonner le clairon à coup de lanières en cuir, j’ai pu me préparer et me planquer sous ma couverture pour amortir les impacts. Je n’avais de toutes façons pas d’autres alternatives puisque j’étais bloquée dans le fond de la pièce, la sortie étant… derrière le grand bonhomme qui n’aime pas la mousse.
Bien que le jacuzzi à la mousse était un pur délire, il fallait par principe qu’il y ait une punition. C’est donc au martinet que je fus martyrisée. Je vais dévoiler un secret de tournage, le martinet en latex, fait beaucoup de bruit, mais contrairement aux autres ne fait pas mal. Il est impressionnant pour la vidéo et parfait pour la mise en scène mais cette fois ci sans douleur.
Mais je suis joueuse et un brin provoc la mousse c’était très drôle mais c’était du programmé. Donc il me fallait trouver une bêtise à faire, mais une vraie. Et je l’ai trouvée ma bêtise…
Alors que le Très Sévère Môssieur était occupé à peindre les parties bois de l’enceinte de la piscine en blanc pour accueillir une fresque le samedi de notre départ, il s’est trouvé que je nettoyais le fauteuil qui allait servir pour la photo, armée d’un arrosoir et de papier sopalin juste à côté. Et voilà t’y pas que, malencontreusement, par le plus grand des hasards, une chose improbable se produisit ! L’arrosoir fut irrésistiblement attiré par le pied, quelques centimètres plus loin, de Môssieur TSM armé cette fois d’un pinceau et non d’un objet de torture moyen âgeux.
Et quand l’eau rencontra le pied du Môssieur, c’est la Marseillaise en Japonais qui résonna dans la Province d’Aragon !
Mais le Môssieur ne court pas, il ne cherche pas à m’attraper. Il a tout son temps. Il prend tout son temps. Tel un prédateur dans son arbre, la proie au pied qui ne le calcule même plus et qui du coup ne se rend plus compte du danger, il continue ses activités et moi les miennes…
Pendant que nos Amis s’occupent de leur côté, je suis conviée au Donjon pour quelques vidéos. Attachée en couche dans le pilori, je suis bloquée et maltraitée de façon odieuse et inhumaine, ne comprenant que trop tard que ce n’était même pas la punition du pied mouillé… Ce n’est pas confortable, vous l’aurez compris. Mais le pire arriva après.
Le sac à gravats.
Mais hors de question de me faire enfermer là dedans. C’est à grands coups de fouets que je bataille et que je cède, la toile remontant rapidement pour m’empêcher toute fuite. De toutes façons j’étais attachée à l’anneau du treuil où voulait il que j’aille ?! Le vilain Môssieur n’avait pas assez pour m’embêter de la couche et du sac, il a fallu qu’il y ajoute une surprise… Du café, versé derrière, histoire de me donner envie de faire pipi… même si, dit il, c’est pour faire croire au popo couche. C’est vrai qu’en regardant plus tard la vidéo, on pourrait y croire.
Et voilà que le sac se relève, mes mains libérées pendant que je suis obligée de m’enfoncer au fond du sac. Connaissant la belette et mes capacités d’évasion, TSM prit soin de fermer la gueule du sac avec une chaîne cadenassée. Une fois sécurisé, et les consignes de sécurité (ne pas tenter de m’évader sous risque de me fracasser méchamment) le sac est hissé haut, plus d’un mètre du sol mais le haut s’approchant probablement des deux mètres ou deux mètres cinquante. Aucune idée, mais effectivement, tenter d’en sortir était pour le moins risqué. Surtout après qu’il m’ait fait tourner dans tous les sens. Je devais donc prendre mon mal en patience parce que je n’ai pas eu droit ni à mon téléphone, ni à mon bouquin, ni même à mon Doudou !!!
La porte du donjon qui se referme me laisse dans un monde à part. Les contours blancs du sac et le bruit de la cascade inlassable à quelques mètres sont mes seuls compagnons d’infortune. Assise au fond, ce n’est pas inconfortable, j’arrive même à changer de position de temps en temps, les anses permettant de tendre la toile. Je ferme les yeux parce que je n’ai rien de particulier à faire, Morphée passant me voir de temps à autres parce que lui aussi en journée, il se fait chier. Quelques bruits dehors me tirent de mon micro sommeil mais rien qui ne mérite de rester sous, tension, Morphée et moi repartons donc bras dessus bras dessous.
Des bruits de pas, des voix étouffées qui deviennent plus claires à mesure qu’elles se rapprochent du donjon, la porte qui s’ouvre, cette fois c’est sûr. Surprise, ce sont Dame Endura et Ricki qui viennent profiter des lieux, s’interrogeant sur ce paquet géant qui bougeait comme un jambon suspendu.
Des mains me touchent, me tapent, sans trop savoir où d’ailleurs… on ne demande pas à cause de qui… Les bruits changent, Ricki semble s’allonger sur le banc à fessées. Ce que j’entends entre les bruits de claques et les cris qui en découlent me confirme mes impressions. Mais Dame Endura est taquine, ou joueuse et change de victime de temps à autres. Tournant le sac, tapant, toujours à l’aveugle, là où elle sent du gras. Non, ça c’est la couche. MDR ! Elle descend le sac un peu, retourne martyriser son soumis ligoté.
Je le connais bien ce banc. J’y ai été fessé au martinet avec trois chaînes en métal, attachée précisément sur ce banc, précisément dans ce donjon, précisément avec Dame Endura… C’était lors de notre première rencontre, le lendemain de notre arrivée au Gîte Fétichistes pour le réveillon du 31 décembre 2023. Fatiguée par la route où il n’avait pas pris le volant, puisque j’avais enchaîné les douze heures de route toute seule, mon ex était parti faire la sieste. Je ne sais plus pourquoi je me suis retrouvée dans le donjon avec Dame Endura et Ricki ni comment je me suis retrouvée attachée ainsi, mais je me souviens qu’elle avait la main lourde la bougresse et que mes fesses étaient marquées dès le premier jour, annonçant la couleur du reste du séjour qui fut lui aussi, très… marquant…
En attendant, dans mon sac, je ne peux qu’attendre justement, que Dame Endura daigne me faire descendre et surtout, qu’elle daigne me libérer.
Mais elle aussi est patiente. Elle aussi prend son temps. Tel un chat qui méprise sa proie, en frôlant le flipper… non je voulais juste voir si vous suiviez.
Le temps s’écoule de manière différente je pense entre l’extérieur et l’intérieur du sac. Je n’ai pas la cagoule d’isolement, donc je suis toute ouïe. Mais ça me semble long, comme si la Dame prenait son temps pour martyriser sa proie et qu’elle voulait me mettre un peu la pression. Les mains ou le paddle tapent le sac, le contenu surtout. Ça balance, ça tangue, heureusement je n’ai pas le mal de mer. Je pense que vomir dans le sac ne dérangerait que moi. Le sac descend lentement.
Petit à petit, le temps de corriger le cul de la victime allongée, ou pas que d’ailleurs, de tourner le sac ou de le taper avant qu’il ne touche enfin le sol. Malgré cela la sortie reste inaccessible et cadenassée. Enfin la liberté, quelques coups pour me montrer qui commande ici, je pensais que c’était moi, et je m’échappe avant d’être séquestrée et martyrisée plus longuement, la couche pleine, je vous le rappelle, de café. Je laisse donc le couple jouer tranquillement, Dame Endura a d’autres chats à fouetter. Des fesses pour commencer.
Puis vient l’heure du déjeuner. Comme toujours avec mon couple de tortionnaires, je mange sur une toute petite chaise, soit disant parce que je suis une petite fille. N’importe quoi. Si j’étais petite, je serai en couche et j’aurais des plats bizarres à manger. J’aurais pu avoir la chaise haute aussi. Mais non, donc je suis une grande. Na.
Ricki devait tester le shibari que Dame Endura voulait perfectionner. Des cordes et un homme, pourrait être le titre d’un roman, mais ce ne furent « que » quelques minutes sympas, immortalisées en partie en vidéos. Ça allait être une journée chargée en tournages et en délires.
C’est naturellement après la sieste du Maître du Domaine que nous avons rejoint le parcours santé et l’échelle horizontale pour y suspendre Ricki. Jamais à court d’idées saugrenues, vous l’avez compris depuis longtemps, notre Acronyme préféré, suggéra de faire des photos avec le tracteur… « Eul’ paysan et le damné ».
Mais il lui manquait surtout une vidéo avec la niche et le chien qu’il avait regretté avoir oubliée. Donc, tant pis pour le faux raccord, on allait faire la prise. Là encore les idées ne manquaient pas, le chien serait attaché à la niche pendant que les humains, profiteraient de la piscine… toujours à 28°… Le temps d’une séquence, Ricki reprit donc forme canine pour mettre sur pellicule numérique le nouveau délire du Maître. Sauf que… ne vous avais je pas dit que le Môssieur en question était patient ?
C’est quand je m’y attendais le moins qu’il me saisit, tel le prédateur, sauvage, rapide, m’immobilisant pour une VRAIE fessée punitive. Pas longue, il n’y avait pas non plus beaucoup d’eau dans les chaussettes suite à l’accident de l’arrosoir, mais elle piquait bien. Surtout les fesses mouillées. J’ai eu l’occasion de prendre d’autres vraies fessées punitives et là on ne rigole plus. Même moi.
Il y avait quelque chose que j’aurais aimé faire depuis longtemps que j’ai manqué faire en Vendée lors d’une soirée accompagnée de Dame Endura, Ricki et mon ex, mais ce dernier n’a pas voulu, c’était la bougie. Attention si vous souhaitez pratiquer, toutes les bougies ne se valent pas. Les bougies qui servent à nous éclairer en cas de panne de courant ou à donner une ambiance sympa en soirée ne sont pas adaptées. Il faut impérativement des bougies basse température qui permettent de sentir la chaleur mais sans brûler la personne. Bon allongée sur ventre je n’ai découvert ce qui se passait derrière moi qu’en visionnant le film le lendemain.
La chaleur sur le dos n’est pas insupportable, on la sent mais c’est le but je crois. Plus on met de cire en épaisseur moins elle est chaude. Pour éviter d’en mettre partout il faut éviter de la faire couler depuis des hauteurs démesurées, la chaleur sera de toutes façons la même que la cire coule de dix centimètres ou d’un mètre de haut. La cire me coulait sur le dos, chauffant doucement, sans excès. Je me suis déjà fait couler de la cire sur le doigt, de la vraie bougie, ça brûle ! Là non, ça chauffe et ça reste supportable. La sensation de la cire qui durcit est rigolote. Pour assurer le spectacle, c’est avec un couteau tranchant comme un rasoir que TSM me décolla le dessin qu’il avait soigneusement réalisé. Vu la gueule du couteau inutile de préciser que je n’aurais pas laissé n’importe qui manier cette arme fatale sur moi !
C’est alors que TSM nous a parlé de la bougie humaine, chose que nous ne connaissions pas. Il suffit, apparemment, de couper un morceau de mèche, de faire couler de la cire dessus pour la fixer sur la peau et de l’allumer normalement. La sensation est légèrement différente quand on devient soi même la bougie. Me voilà donc brillante l’espace de quelques secondes, le temps pour la flamme de consumer un peu la cire et de se rapprocher de la peau. Effectivement, à cet instant ça devient chaud. Limite un peu trop, mais une brûlure de bougie, TSM souffla sur la flamme et la douleur disparut en quelques secondes.
C’est ce soir là que TSM m’a proposée une petite surprise intimiste, une fessée musicale. Pas spécialement forte, l’idée n’est pas de me défoncer le cul, mais rythmée, régulière, la mesure se calant sur la batterie de Dire Straits. Tel un artiste multi tâches, le Maître avait décidé de tester tous ses accessoires. Ou presque tous. Cravaches, canes, les mains aussi… tout y est passé parfaitement synchrone avec le rythme entraînant du groupe Britannique. J’ai vraiment adoré !
Petit bémol, mon jeu dans le jacuzzi m’a brûlé les genoux au sens littéral du terme et m’appuyer dessus était très douloureux. La peau était vraiment à vif. Même si j’ai pris énormément de plaisir à m’immerger dans la musique je ne suis pas partie à fond. Pourtant, arrive un moment où la fessée est juste accessoire, elle nous fait intégrer la musique, on la vit au sens physique du terme.
Puis vint l’heure du dodo, comme une grande pour une fois.
De peur que le Grand Méchant Dom ne revienne martinet en main, je prends l’habitude de bloquer ma porte. Ce matin du jeudi, c’est le Dentiste 2, le retour de la peur. Je suis en apnée au moment où je saisis la poignée de la portière du 4x4. Le trajet me semble long, pourtant on arrive très vite, trop vite. La place pour se garer est presque offerte, comme si on nous l’avait réservée. Fallait pas vous sentir obligés… Les seize marche qui grimpent au premier sont un compte à rebours. La jeune dentiste aux yeux bleus magnifiques nous accueille avec un grand sourire malgré son masque. Mon prénom prononcé en Espagnol est doux, comme une caresse, mais ça ne m’apaise pas pour autant.
- ¡ TSM aqui ! - dit elle en l’envoyant dans la salle d’attente. - ¡ La señora de aqui ! (Elle l’a appelé par son prénom en vrai mais bien qu’il soit connu, je ne le dirai pas ici.)
Heu pourquoi je suis seule aujourd’hui ??? L’expérience n’était pas plus agréable la deuxième fois que la première bien que j’aie eu droit tout de suite à l’anesthésie même si le mec n’a manifestement pas compris qu’une femme de cinquante piges soit déjà en PLS alors que rien ne s’est encore passé et qu’il soit contraint d’intervenir. Un moment très compliqué, qui m’a encore vu sortir en sueur, les jambes flageolantes, nécessitant, encore de prendre l’ascenseur pour descendre au rez de chaussée et un bras solide pour m’empêcher à plusieurs reprises de me casser la gueule. Comme cette fois c’étaient les dents du haut, la lèvre supérieure ne retenait même pas le liquide de rinçage dans le cabinet, je n’ai pas mangé le midi ça aurait été un massacre. Comme la fois précédente, il me fallut plusieurs heures pour récupérer l’usage normal de ma bouche mais là ça impactait davantage mon élocution.
Une fois remise de mes émotions, le gros dodo rituel et sacré terminé, les vilaines habitudes sont revenues en force. Me voilà donc sous ceinture de chasteté à reprendre place à bord du tout terrain direction les ruines près de la gare de Morata de Jalon. Là encore je suivais les directives du photographe/vidéaste sadique.
- Monntee ! - disait il avé son asseng. - Posee toi commee ça…
Ça sentait bon le soleil méditerranéen dans sa voix, et je me demandais à chaque fois, si les Espagnols l’entendaient aussi cet accent ? ¡ Pero no hablo español suficientemente bien como para hacer la pregunta ! (Mais je ne parle pas assez bien espagnol pour poser la question!)
On fait des photos, TSM s’amuse, il est dans son élément. Il invente un scénario, là comme ça. Comme il dit parfois, « C’est pas pro, la vidéo n’est pas parfaite, mais on s’en fout, au moins elles sont vraies, nous on s’éclate ! »
C’est vrai qu’on s’éclate ! Il n’y pas de sujet tabou. Pas de geste déplacé. Pas de regard malsain. Juste des gens simples au sens noble du terme, qui aiment passer de bons moments sans se prendre la tête. Et je pense que ça se ressent dans les vidéos.
Aucun réalisateur derrière la caméra ne va crier « Coupez on va la refaire ! » La scène est brute, prise sur le vif. Parfaite dans son imperfection et pas (re)travaillée à outrance au risque de lui faire perdre son authenticité.
Les ruines de la vieille usine cachent encore un petit secret à l’expatrié Français, qui ne trouve pas l’accès au dernier étage. Et c’est vrai que d’où on était, il n’y avait aucun escalier visible. Du bruit dehors nous fait réagir. Quelqu’un approcherait il ? Paradoxalement, j’aurais moins de mal à être vue seins nus et ceinture de chasteté que seins nus et couche. Mais aucune des deux situations ne s’est encore présentée, donc pour le moment, ça ne reste qu’un sentiment abstrait.
Quelques photos pour finir une dernière vidéo et je peux récupérer ma robe pour rentrer. Curieusement il y avait un lieu que TSM n’avait pas encore exploité chez lui… le moulin lui même !? Les installations sont impressionnantes et le tableau de contrôle d’une autre époque est toujours opérationnel. Il suffit juste de relever le levier sur « ON ».
Me voilà donc attachée volontairement de force dans le moulin, à une poutre mobile qui permettait de soulever les bacs de farines pleins, une fois le blé moulu.
Le martinet en latex est de sortie, ça claque, ça fait du bruit mais ça ne fait pas mal. On joue, on improvise, on délire. Quelques photos. Le cadre est magnifique, j’adore le tableau de commandes vintage, les poutres et les turbines qui doivent faire un barouf de tous les diables quand elles fonctionnent. On est au dessus de la rivière, une partie de l’eau passe à côté du moulin et tombe en cascade quelques mètres plus loin dans un grondement sourd et régulier.
Puis la soirée s’étiole lentement, les repas espagnols se prenant tard, on prend le temps de vivre, de manger et de discuter. Toujours sur la mini chaise en ce qui me concerne.
Pour la nuit, TSM me propose une gigoteuse XXL. J’ai ma grenouillère qui me protège les genoux des frottements contre le lit. La gigoteuse pour les personnes qui ne connaissent pas, est une sorte de sac de couchage dans lequel on enferme les bébés, en leur passant les bras dans des bretelles qui le tiennent en place autour du corps. Même si le bébé gigote, il reste couvert. Cette version adulte est la réplique exacte de la version Schtroumpfs. Je dors bien, sans couche, mais je dors bien.
La sensation est curieuse quand même, on a les jambes dans un sac de couchage mais quand on se tourne, tout tourne en même temps. Certaines gigoteuses adultes sont même prévues pour les rebelles comme moi, avec une fermeture éclair qui se ferme aux pieds pour en limiter l’accès et qui se cadenasse… pour en limiter l’évasion. Certaines même ont des sangles sur le côté pour les arrimer solidement au lit. Celle ci est toute simple, classique, juste à une taille inhabituelle mais tout à fait normale pour un lieu comme celui ci.
Les volets en bois qui se ferment de l’intérieur bloquent complètement la lumière du jour et le pot qui protège ma porte ne bouge pas en ce vendredi matin. J’ai appris plus tard dans la journée que l’idée de me réveiller au martinet lui avait traversé l’esprit... Alzheimer se présenterait il ou est ce que c’est Môssieur qui aurait soufflé sa réplique à Martin Riggs ??? « Je suis trop vieux pour ces conneries ! »
Quoi qu’il en soit, je me suis réveillée toute seule, comme une grande avec un timing cependant à respecter puisqu’on devait aller à Calatayud pour accompagner Malicia à un RV médical. J’enfilais une jolie robe par dessus mon corset et ma ceinture de chasteté, seuls sous vêtements que je portais. Une grosse couche plastique Rearz prit place à côté de moi dans la voiture…
Le Land Rover est grand et le bruit du moteur m’isole un peu derrière. Je n’entends pas la discussion devant et ne voulant pas les faire répéter ou crier je laisse les adultes tranquilles. On va prendre un verre en ville mais la ceinture sans sa protection silicone est rapidement inconfortable sur la chaise en bois du bar où les hommes en pleine pause déjeuner à 10h30 parlent extrêmement fort. Ils commencent tôt en Espagne, donc les heures du repas sont décalées. Je me repositionne régulièrement, je me relève légèrement, j’écarte un peu les jambes, j’essaye de limiter l’inconfort mais j’ai l’impression que tout le monde me regarde me tortiller.
Juste devant l’entrée de la cafétéria du supermarché, une boutique de puériculture pour les bébés de cinquante centimètres à pas grand. Limite ironique.
Je remonte à l’arrière du 4x4 on dépose Malicia à son RV et on part crapahuter dans la montagne environnante.
Les paysages sont MA GNI FIQUES ! Quelques arrêts photos, un vélo en pleine ascension face à nous qui redescendons sur l’autre versant…
Et d’un seul coup, changement de décor ! Le paysage de montagne laisse la place… au désert !? Sans transition, comme ça, brutalement, nous voilà expédiés dans un autre monde.
Une petite photo en corset et ceinture pour immortaliser les deux univers et nous revoilà partis parce que TSM sait où il veut faire ses vidéos.
Un monticule qui me fait penser à une termitière, est notre première halte. Enfin première Je dois grimper au sommet, pas haut certes, mais je suis en talons… MOI.
Le vent est taquin et ma robe légère. De toutes façons je ne la garde pas longtemps. Une fois au sommet, seuls ont droit de citer le corset et la ceinture. L’endroit est vraiment désert, la seule personne qu’on ait croisée était le cycliste dix minutes plus tôt. Je ne suis donc pas inquiète et je me prête aux « « exigences » » du vidéaste fétichistes. Après quelques minutes d’exhibition je dois redescendre. Mais si l’ascension, bien que rock’n’roll en talons, se soit relativement bien passée, la descente est plus périlleuse. Pour éviter de déraper, je décide d’accélérer sur le dernier mètre, espérant me rétablir sur le plat. J’ai eu de la chance c’est ce qui s’est passé. J’imagine la gueule des médecins aux urgences avec ma ceinture et mon corset… D’autant que je n’ai pas de culotte de « secours ». J’ai une couche, dans la voiture, mais je n’ai pas de culotte.
Le vilain Môssieur m’emmène ensuite au Far West. Un panneau de bois, nous montre un chariot gravé entre un cactus et un tonneau sur fond de montagnes du Grand Canyon. LAS CARAVANAS écrit en gros au dessus sonne comme une invitation au voyage.
TSM est un show man, vous l’avez compris. Même dans le désert il a des cordes dans sa voiture !! Je me retrouve donc attachée aux poteaux du panneau… en corset et ceinture… Il n’y a bien que Lui pour avoir ce genre d’idées tordues, non !?
Alors que je pense qu’on va regagner la ville avec la couche toujours pliée sur la banquette arrière, (ben quoi on peut rêver non?) on s’arrête face à une fissure importante dans le chemin. Pour avoir pratiqué le hors piste pendant longtemps, le conducteur sadique descend pour analyser la situation. Apparemment la fissure est plus vicieuse qu’elle n’y paraît, la franchir sans précaution aurait pu laisser le 4x4 planté sur le châssis, deux roues en l’air. On approche d’une ruine pour faire quelques photos, mais avant même que je comprenne, je me retrouve les mains ligotées attachée au cul du Land Rover ! Ah c’est malin ! Je suis en talons Môôôssieur !!
Mais il s’amuse. ON s’amuse ! Aucun de nous deux ne se prend au sérieux. Il y a toujours du respect, de la bienveillance et je me sens bien.
Quelques minutes plus tard, nous sommes au pied d’une colline, un tracteur semble sillonner un champ à cinq cents mètres. Impossible de distinguer le conducteur correctement, impossible pour lui donc, de voir les détails de ma tenue. Parce que le corset est déposé et la ceinture retirée… non je ne reste pas à poil… je suis langée. Debout contre la carrosserie. Pas glamour cette fois.
On n’a pas de scénario, je dois monter sur flanc de la colline et je me dirige derrière le rocher. On improvise, je crie « J’suis cachée ! » mais concrètement je ne sais pas ce qu’il fait. Le pire, c’est que je me fais surprendre comme une gamine parce que je regarde devant... mais TSM est passé derrière et je crie, mais de surprise cette fois, parce que je me suis vraiment laissée emporter je le croyais encore au niveau du caméscope. Je suis ramenée dans la voiture par l’oreille. Ça pique !
La voiture s’arrête à nouveau face à un obstacle de taille : un gué. Je dois aller examiner les profondeurs du Mississippi pour que le conducteur sache où poser les roues. Heu c’est pas le taf du conducteur ça, comme pour la fissure tout à l’heure ?? J’ai des chaussures en cuir que j’ai acheté cher pour avoir des trucs de qualité qui durent dans le temps. Hors de question de les pourrir dans l’Amazone.
J’ai compris après que le pervers sadique s’en tape de la profondeur du Canyon en fait ! Il le connaît par cœur il y passe régulièrement ! Tout ce qu’il veut c’est faire des photos d’une nana en couche les pieds dans l’eau !! Si j’aurais su, j’aurais pas v'nue...
Je remonte en grognant, les pieds plein de sable. Mais je ne peux pas remettre mes chaussures tout de suite, pas envie de les abîmer. J’aurais peut être dû apporter mes tongs.
On approche des habitations, j’ai une couche aux fesses, une robe légère qui vole à la moindre bise, pas de soutif et les pieds nus. Ils passent souvent ici la Guardia Civil ? Ici, dans cette gare désaffectée qui n’a même plus de rails qui prouvent son passé. Seule la plaque au dessus de la porte le laisse supposer. Mais c’est vers l’entrepôt à côté, que l’on se dirige. Le sol est jonché de merdes de pigeons et de canettes de bières. Des trous dans le toit, des pigeons qui s’envolent et j’aligne des canettes sur un comptoir. Les canettes volent bien. Les vides en tout cas. Celles qui curieusement sont encore pleines tombent lourdement au sol. Je ne comprends pas comment il peut rester des canettes pleines ? Les mecs étaient trop torchés pour se rendre compte qu’il en restait à boire ?
Le sol de la gare était trop plein de n’importe quoi et pieds nus c’était pas prudent m’a confié TSM qui a reprit le volant pour rejoindre sa petite Femme qui nous attendait depuis un moment déjà.
J’évite de penser que vingt quatre heures plus tard, je serai sur la route du retour avec Dame Endura et Ricki. La gorge se noue régulièrement. Mais il me reste encore du temps et le clou de mon séjour. Le moment que j’attends et que j’espère revivre depuis que j’y ai goûté pendant le réveillon, la séance de fouet.
Le Maître, épuisé par ses photos ou « trop vieux pour ces conneries » ou simplement besoin de son gros dodo, s’éclipse dans sa chambre pendant que Malicia se regarde un truc à la télé. Je m’éclipse et me cache quelques minutes dans la nurserie. Je ne l’avais pas fait. Juste moi toute seule. J’admire les lieux que je n’ai jamais vraiment vus. Le parc avec son tapis de mousse et ses peluches attend de garder le bébé au calme à côté de la chaise haute. Un lit en fer forgé assez long pour tenir allongé ou peut être les jambes légèrement pliées peut être fermé par la table à langer.
Cette dernière tient et sert de couvercle on va dire au lit. Soulevée elle est fixée à un crochet pour que le lit soit accessible. A l’horizontal, c’est une table à langer équipée d’un matelas plastifié, mais avec la chaîne, elle verrouille le lit sur lequel elle se pose, obligeant bébé à attendre que l’adulte ait décidé de mettre fin à la punition ou à la sieste. Sur une étagère en hauteur, reposent plusieurs paquets de couches dont beaucoup offerts par FRANCE ABDL, le sponsor du Gîte Fétichistes.
Alors que de l’autre côté du mur, côté donjon, on entend la cascade s’exprimer à gorge déployée, ici… RIEN !? Pas un bruit !? Si des littles font la sieste ou un gros dodo pour la nuit, ils devraient bien dormir.
Je n’ai pas apporté de montre en Espagne. je voulais profiter de chaque instant. J’ignore quelle heure il est quand je remonte dans le salon où m’attendent Malicia et TSM qui semble aussi impatient que moi de jouer du fouet.
Lors du réveillon, j’avais été attachée nue devant tous les invités. Un masque sur les yeux, les mains tendues par le treuil, les doms présents avaient été en charge de me mettre en température. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils s’en sont donné à cœur joie ! Le martinet, LES martinets me mordaient, plus ou moins fort. J’étais une bille de flipper, secouée dans les bumpers, chaque martinet me renvoyant sur un autre. MULTI BILLES ! NOOOOON !!
Quand je fus à point, les choses sérieuses commencèrent. TSM fit chanter le fouet. LES fouets. Je ne sais plus à combien il est monté mais je sais qu’il peut aller jusqu’à huit. Quatre dans chaque main. Quand je vous dis que se sont des portes avions ses mains !!! Ça claquait, je me tordais de douleur ou de surprise selon l’impact et la volonté du Maître danseur.
Je ne savais plus où j’étais, j’étais incapable de dire si les invités étaient toujours présents ou pas. J’étais incapable de dire ce que TSM m’a dit, ni ce qu’il a fait exactement. Il n’y avait que TSM, le fouet et moi. Il me fallut un moment pour comprendre que le fouet avait cessé. C’étaient les poignets qui me tenaient.
J’ai senti deux paires de bras me tenir… et d’avoir repris vaguement conscience au sol, dans les bras de TSM qui m’avait fait poser une couverture dessus. Je tremblais, j’étais en sueur, mes jambes étaient en coton. Je me suis même endormie. Et je me suis retrouvée sur le lit, quelqu’un à côté de moi qui me couvrait de son bras pour me réconforter ou me réchauffer.
J’ai mis une bonne demi heure peut être plus, pour redescendre. Donc oui, on avait hâte de renouveler l’expérience.
J’étais attendue au donjon. Dame Endura et Ricki étaient présents. Manifestement Ricki avait préparé le terrain. Les bracelets de cuir attendaient de part et d’autre de l’anneau de shibari suspendu au treuil à une hauteur pour le moment raisonnable. On est d’accord, aucune chance que ça dure…
TSM annonça la couleur :
- Tu auras la cagoule d’isolement et Dame Endura va te mettre en condition. Moi je regarde et après je me régale.
Cette simple phrase me fit tressaillir.
Il voulait se lâcher, profiter. Il voulait, comme chaque fois que mon corps nu était son fouet, le voir se tortiller, se cambrer, mouiller de plaisir… Mon corps parlait pour moi. J’aimais ça et je ne cherchais pas à le cacher, même si je ne criais pas. Je gémissais parfois, grognais quand ça piquait trop, mais je ne criais pas. Je tendis mes mains sans résistance aux bracelets de cuir, consciente des conséquences que cela impliquait. Je ne pouvais plus reculer. Je ne voulais, de toutes façons pas, reculer.
Le treuil se tendit un peu, tirant mes mains vers le haut.
Dame Endura me passa la cagoule par dessus la tête. Celle ci, contrairement à celle que j’avais testée au réveillon pour les vidéos du dernier jour, était complètement fermée. Rien pour la bouche qui me laissait une ouverture supplémentaire pour avoir plus d’air. Là juste deux trous minuscules pour le nez. Pas assez selon moi pour prendre de grandes respirations comme j’en avais besoin pour reprendre mes esprits et reparamétrer mon corps. Plus épaisse que la précédente, la cagoule m’estompait énormément les bruits extérieurs et les voix. Je ne comprenais pas ce qu’on me disait. Et avec la danse sous le fouet, il y avait peu de chance que je me reconnecte rapidement à la réalité.
Quand la sangle fut serrée derrière ma tête, mes appréhensions se firent concrètes, je ne pourrais pas prendre de grandes bouffées d’air. J’allais devoir respirer calmement, anticiper mon rythme cardiaque pour apaiser ma respiration et ne pas avoir à, justement, devoir prendre de grandes bouffées d’air. Même en poussant avec la mâchoire, il n’y avait pas d’amplitude, Dame Endura avait vraiment bien serré ma cagoule qui devint oppressante, angoissante. Me calmer. Respirer calmement.
Mes mains se tendirent vers le haut, le treuil en action, habituellement bruyant, était aphone depuis ma cagoule. M’entendraient ils eux, de l’autre côté ? Pas le temps de me poser des questions pataphysiques, le martinet tutoyait déjà mon dos.
Piquant pour donner le ton. Plus doux. Dame Endura avait été à « « bonne école » ». Elle variait les intensités, les zones du corps. Les seins, mon intimité, même la tête, puisque protégée par la cagoule, il n’y avait aucun risque de recevoir une lanière dans les yeux. Elle semblait tourner autour de moi. Je dis semblait, parce que dans ma cagoule, je n’avais aucune idée de sa position réelle. Les lanières du martinet, relativement longues, s’imprimaient sur mon corps de tous les côtés à la fois.
J’ignorais si TSM, Dame Endura et Ricki parlaient ou si c’était un silence complet qui avait envahi le donjon ? J’étais isolée dans ma cagoule, concentrée sur les sensations contradictoires et paradoxales que me renvoyaient mes terminaisons nerveuses. L’excitation me faisait haleter, je devais impérativement souffler et me calmer pour ne pas bouffer trop de CO2 dans ma cagoule. Les trous des narines étaient pour moi, en cet instant, vraiment sous dimensionnés.
Un moment de répit ? l’échauffement était il terminé ?
La sensation particulière du fouet me confirma que oui. TSM était à la manœuvre. Commandant sur la Passerelle ! La bataille allait prendre un nouveau visage.
Ça claquait, ça piquait, la lanière semblait parfois s’enrouler autour de moi pour venir mordre un endroit improbable aux antipodes du point de contact initial. Ou alors il y en avait plusieurs, ce qui n’était pas impossible non plus. Comme un cheval attaché en proie à un dresseur fou, je ne pouvais ni reculer, ni m’échapper. Mon corps se contractait sous les impacts qui augmentaient en rythme et en intensité. Ma danse absurde, notée -10 par Chris Marques, s’inscrivait dans l’espace de façon aléatoire, brute, sauvage, dictée par la simple position de l’impact sur ma peau.
Cette cagoule était terrible. Autant au réveillon j’avais un masque, j’entendais ce qui se passait autour de moi, même si le moment est arrivé où j’avais complètement décroché… mais là, je ne pouvais rien anticiper. Ni les déplacements, ni ce qu’éventuellement on me disait. Là j’étais vraiment isolée. Il n’y avait que TSM, le·s fouet·s et moi.
Combien de temps cela a-t-il duré ? Que s’est il passé ? Mes jambes ont plié, les bracelets se contractèrent sur mes poignets soudain sous tension. Le fait d’être attachés de part et d’autre de l’anneau, ces bracelets, d’ordinaire objets de contraintes, venaient de m’empêcher de m’écrouler comme une loque. Je perçus de loin d’autres sensations sur moi. Des mains fortes, puis le contact froid du sol où je fus allongée…
Fugace contact avec la réalité, TSM me secouait légèrement pour me ramener dans le monde des vivants. Sa voix était déformée, le contact visuel hors service, la réponse… erreur système. Je sentis un contact liquide sur ma bouche, manifestement je n’avais plus la cagoule. Pourtant j’étais toujours aussi loin niveau des perceptions. Le sol se dérobait à nouveau sous mon corps, mon esprit suivit sa chute.
Une voix étouffée. Quelqu’un ? Que se passait il ? Plus aucun repère. Où étais je ? Réinitialisation totale du système, mon cerveau tenta de rassembler ses derniers souvenirs.
AAAAH !
En sursaut mon corps fut violemment ramené sur Terre, le visage dégoulinant d’eau. TSM tenait encore l’arme du crime à la main.
Je devais, disait il, venir avec eux profiter de l’apéro avant prendre une douche et partir au resto. Un long moment semblait s’être écoulé. Fébrile, mais menacée d’une deuxième salve aqueuse, je me relevais péniblement, nue, simplement couverte d’une couverture polaire qui me protégeait à peine du froid. En fait il ne faisait pas froid. J’AVAIS froid.
J’ai appris alors quelques instants plus tard, que lorsque mes jambes m’avaient trahies, TSM et Ricki m’avaient tenue et allongée par terre.
Pour m’achever et me montrer qui était le maître, TSM m’aurait mis le pied sur la tête et la gorge, avant de me donner des ""coups de pieds"" ?????
- Ah bon ??? Si vous le dites. Je vous crois sur parole.
- Tu ne t’en es pas rendue compte ? - me demanda TSM déçu.
- Non. J’ai juste senti mes jambes décrocher, le froid du sol et plus rien.
- Pourtant il n’y a pas été de main morte – confirma Dame Endura.
- Moi qui espérais pouvoir t’humilier un peu, j’ai fait tout ça pour rien !?
- Je crains que oui, parce que je n’ai absolument aucun souvenir.
Que les choses soient claires avant que mon Ami ne se fasse insulter et traiter de tous les noms… Il n’y avait ABSOLUMENT AUCUNE volonté de faire mal ni RIEN de dangereux !!
Sinon vous vous doutez bien que si tel avait été le cas, Dame Endura et/ou Ricki, présents, seraient intervenus ! Il y avait juste une envie de pousser le jeu de l’humiliation plus en avant parce qu’il pensait que j’étais consciente. Malheureusement pour lui, j’étais déjà ailleurs ! 🤣🤣🤣
Après avoir repris des forces en tapant dur dans les chips barbecue, je me préparais en hâte pour le resto. Soirée sympa à La Alumnia.
Dernière soirée, dans vingt quatre heures on serait proches de Tours. Derniers moments avec nos Amis, demain matin je serai une ombre incapable d’aligner plus de trois mots d’affilé. La soirée passa évidement trop vite, comme cette semaine. C’est le cœur gros et la gorge nouée que je m’enfermais une dernière fois dans la gigoteuse XXL cette nuit là.
Le Soleil régnait en maître sur le Gîte Fétichistes mais il pleuvait dans mon cœur. J’ai toujours eu beaucoup de mal à quitter les gens que j’aime, surtout quand je n’avais aucune idée de quand je les reverrai. Je me jetais sur la banquette arrière du Scénic pour ne pas pleurer devant eux après leur avoir fait un bisou rapide. Trop rapide. Indigne des Sentiments que j’ai pour eux. Ne pas penser. Ne pas croiser leurs regards. Ne pas pleurer. Du moins pas maintenant.
Grand Grand Merci à mes Amis TSM, Malicia, Dame Endura et Ricki pour m’avoir permis de vivre cette superbe semaine ! Je vous aime !
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AJOUT DU WEBMASTER
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un bien jolie récit qui met l'eau a la bouche . | |
Merci Samy !😘 | |
Vous ne vous êtes pas ennuyée pendant ces vacances ! Merci pour ce récit. | |
Toujours aussi agréable de te lire et NON, je ne suis pas vieux ! | |
On attendait avec impatience le récit de tes aventures. Merci. Dommage que tu n’aies pas mis une vidéo avec ton beau collier bien lourd au cou, j’adore les grosses chaînes au cou des charmantes dames. | |
Merci Mandarin !😘 Merci Bhanfcuffs !😘 | |
Merci Spécial TSM et Malicia pour cette magnifique semaine !😘😘😘😘 | |
Whaou sacrée vacances 😉. Même les meilleurs tour opérateur ne pourront rivaliser vôtres retour d expérience et vraiment génial ça fait voyager est sourire 😃. Bravos | |
Merci pour ce retour très sympathique de ta semaine chez nous | |
de rien Judeline , vos photos sont magnifiques , vos vidéo un plaisir pour la vue nous laissant pour seul regret ,ne pas avoir été présent , et votre recit , un petit chez-d œuvre . merci a vous | |
Merci Emilie !😘 Merci Samy !😘 | |
Merci Malicia !😘😘😘😘 | |
Super séjour et tu as pris un réelle plaisir | |
Tout le monde peut le faire Éléphant. Il suffit juste d'y aller. | |
Alors comme toujours un récit magnifique . Par contre , je m’insurge , je n’ai pas donné d’idées à « vieux » Monsieur ( 🤣🤣🤣) la preuve tu n’es pas allés à Saragosse et au resto en grosse couches . J’en profite pour redire que Madame est adorable | |
Merci Calulion !😘 (Je n'ai pas trouvé les carnets où c'était marqué... si ça se trouve il garde ça pour plus tard... A CAUSE DE TOI...😝) | |
Merci Dita !😘 (C'est toi qui choisis) | |
Très joli récit! Je suis impressionné par ta motivation et ta résistance. On sent bien, aussi, la connexion avec TSM. Et bravo pour l'écriture qui rend la lecture agréable. | |
Merci Pierrekiroul ! 😘 |
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